
STAGE TANTRA MIXTE COUPLES ET CELIBATAIRES :
LA CLÉ DU PLAISIR
Le second monde, LE CORPS, L'IMAGE DE SOI.
IMMENSITÉ ET ABONDANCE DU SECOND MONDE
C'est la clé des révélations !
DE QUOI DEPEND MON PLAISIR ? Voilà certainement la plus grande découverte que vous ayez à faire dans votre vie !
LE SECOND MONDE après le premier monde du Désir.
L'ARTICULATION DES DEUX MONDES
MON CORPS A QUELQUE CHOSE A ME DIRE
MES JUGEMENT M'EMPOISONNENT
Enfin dans ce stage de tantra , VOUS VIVREZ L’EXCEPTIONNELLE STRUCTURE DE RÉPARATION DU MIROIR dont vous vous rappeler longtemps et vous rencontrerez un personnage extrêmement attachant qui aura quelque chose à vous demander.
Vous découvrirez deux massages : LE MALESHKALI et LE MASSAGE DES RACINES
Il existe des passages invisibles qui attendent d’être franchis. Des portes intérieures qui ne s’ouvrent que lorsque l’on ose ralentir, respirer, et écouter la voix discrète de son propre corps, autoriser. Ce stage est l’une de ces portes. Un seuil vers un univers sous-estimé : le second monde.
Le premier monde, celui du désir, nous est familier. Il brille comme une étincelle : aimant, brûlant, impatient. Mais il n’est que l’amorce d’un voyage. Le second monde, lui, appartient à l’immensité. Il ne dépend plus uniquement de l’autre, ni de la quête effrénée, mais d’une source enfouie au cœur de soi-même. C’est l’océan derrière la vague, l’horizon qui s’ouvre quand le désir trouve sa racine et devient plaisir plénitude.
Le corps, temple des révélations
Votre corps est une maison de mystères. Trop souvent jugé, contraint, abîmé par vos propres pensées ou par les miroirs du monde extérieur. Mais derrière chaque contraction se cache un message. Derrière chaque tension sommeille une vérité.
Dans cet espace tantrique, vous apprendrez à réécouter le langage de vos cellules, à laisser éclore ces murmures qui, depuis toujours, cherchent votre oreille. Ce n’est plus un corps-objet, ni un corps jugé. C’est un corps immense, vibrant, source de toute abondance.
Lorsqu’on ferme les yeux et qu’on le laisse parler, on découvre que le plaisir n’est pas seulement une brève montée, mais un chant infini, une vibration douce qui peut se répandre partout, comme la lumière qui s’installe peu à peu dans une pièce sombre.
De quoi dépend mon plaisir ?
C’est ici que réside le grand secret. Nous croyons trop souvent que notre plaisir dépend d’une circonstance, d’un geste reçu, d’une rencontre inespérée. Mais en vérité, il repose sur notre capacité d’accueil, sur l’espace intérieur que nous offrons au ressenti.
Les jugements qui se dissolvent
Chacun transporte des jugements comme des chaînes invisibles :
“Je ne suis pas assez…”
“Mon corps est trop…”
“Je ne mérite peut-être pas…”
Ces phrases intérieures sont des poisons lents. Pendant ce stage, vous apprendrez à les regarder, à les nommer, puis à les laisser se dissoudre dans la chaleur du moment.
Et dans cet abandon, naît une évidence : votre être est complet, beau, suffisant, digne de plaisir et de lumière.
La réparation du miroir
Il viendra un moment unique, qui restera peut-être l’une des expériences les plus marquantes de votre parcours : la réparation du miroir.
Face à vous-même, à travers l’autre, vous apprendrez à vous regarder à nouveau. Non plus avec l’œil sévère du juge intérieur, mais avec le regard tendre d’une présence accueillante.
Les massages sacrés
Deux joyaux scintillent au cœur de ce stage : deux massages initiatiques qui touchent à l’essence même du tantra.
- Le Maleshkali :
- Le massage des racines
Un voyage ensemble, au-delà des statuts
Couples et célibataires chemineront ensemble. Dans ce mélange se cache une alchimie subtile : chacun reflète à l’autre une part du voyage. Les couples apprennent à se redécouvrir. Les célibataires explorent la dimension universelle de la connexion. Et tous ressentent, au-delà des rôles et des attentes, la même énergie circuler : l’énergie d’une humanité partagée.
Le second monde : immensité et abondance !
À la fin de ce voyage, vous aurez franchi un seuil intérieur. Le second monde vous offrira l’expérience de l’abondance : non pas l’accumulation, mais l’infini mouvement de donner et recevoir, l’évidence que la source ne se tarit jamais.