STAGE TANTRA MIXTE COUPLES ET CELIBATAIRES :
LA CLÉ DU POSITIONNEMENT,

Il existe des moments dans nos vies où l’on sent que quelque chose appelle, comme une voix discrète au fond de la poitrine. Une petite vibration qui dit doucement : « Il est temps. Temps de cesser de marcher au hasard, de t’ajuster à l’autre jusqu’à t’effacer, temps d’apprendre à dire depuis ton centre. » Le stage Tantra mixte – couples et célibataires, est cette invitation : un espace rare où chacun peut se rencontrer dans sa vérité et découvrir la clé précieuse du positionnement.

Ici, pas de performance, pas de rôle à tenir. Seulement la sincérité de ce que je sens maintenant, et le droit sacré de l’exprimer. Oser dire, oser demander, oser tracer ma limite, oser tendre aussi la main pour recevoir. Parce que le véritable chemin du Tantra n’est pas de se perdre en l’autre, mais de se retrouver soi, debout, vivant, vibrant, pour mieux entrer en relation.

 1. Identifier, sentir, trier, dire : l’art de se positionner
Combien de fois, par peur de décevoir ou de blesser, avons-nous tu nos besoins ? Combien de « oui » donnés à contrecœur, seulement pour ne pas perdre l’amour de l’autre ? Ce stage nous invite à un acte fondateur : identifier ce qui m’anime, nommer ce que je veux, mais aussi ce que je ne veux pas, ce que je ne veux plus.

C’est un apprentissage d’une justesse infinie : aller voir en soi comme on ouvre un écrin. Chaque désir, chaque refus est une pierre précieuse qui éclaire qui je suis. Et personne – absolument personne – ne peut savoir mieux que moi ce qui m’aligne. Ni le compagnon, ni l’amant, ni l’ami, ni le maître spirituel. Se repositionner, c’est revenir à ce centre, solide comme un axe, qui me relie au Ciel et à la Terre. C’est apprendre à nourrir mon yin quand je manque de douceur, à réveiller mon yang quand il m’appelle à l’affirmation.
 

2. Sentir la zone rouge : protéger son sanctuaire
Il est une frontière subtile mais essentielle : ma zone rouge. Celle où, si je la franchis, je me sens envahi, écrasé, dissous. Beaucoup d’entre nous ont grandi sans la reconnaître, croyant qu’aimer, c’était se sacrifier. Ici, nous apprenons à la sentir, à l’accueillir, et à la nommer sans honte.

Reconnaître ma zone rouge n’est pas refuser l’autre, c’est au contraire lui offrir le plus beau cadeau : celui d’entrer en lien avec quelqu’un qui sait où il commence et où il se termine. C’est un espace clair et lumineux, un sanctuaire sacré. Et c’est dans ce cadre-là que naît la vraie confiance, car l’autre ne marche plus en territoire inconnu.
 

3. Le courage de dire NON
Dire « non » est parfois l’acte le plus difficile. On craint de froisser, de blesser, d’être rejeté. Pourtant, un « non » posé avec respect devient une offrande. Il dit :
« Je me respecte, et je te respecte assez pour être vrai avec toi. »

Apprendre à dire « non » sans dureté, sans fermeture, c’est ouvrir la porte à un « oui » sincère, vibrant et entier. C’est aussi se libérer de l’épuisement silencieux. Ici, chaque « non » devient un acte d’amour envers soi et un tremplin vers une relation plus authentique.

4. Se repositionner sans trahir l’autre, apprendre à recevoir
Combien de fois avons-nous cédé, puis ruminé, avec la sensation amère de nous être trahis ? Le positionnement juste n’est pas un mur dressé contre l’autre : c’est un équilibre dans lequel chacun peut respirer. On peut dire « stop », et rester relié au cœur. On peut s’affirmer, et continuer à aimer.

Et puis, il y a ce pas si délicat : recevoir. Beaucoup savent donner, mais tremblent encore lorsqu’il s’agit d’accueillir. Recevoir une parole, une caresse, un regard, une présence. Laisser entrer la tendresse de l’instant comme un rayon de soleil. Recevoir, c’est ouvrir les mains sans contrôler, en confiance.

5. Les 3 clés du positionnement : trois règles de vie
Tout au long de ce stage, trois clés majeures sont transmises. Elles ne sont pas des dogmes, mais des règles intimes, précieuses, à garder comme des amulettes dans la vie quotidienne. Elles éclairent la relation avec soi et avec l’autre, dessinent les contours d’une existence plus claire, plus douce, plus alignée.

Ces trois règles sont simples. Mais leur simplicité est puissante, car elles deviennent des repères fiables à chaque carrefour de la vie : quand dire oui, quand dire non, et comment rester relié au centre quoi qu’il arrive.

 Expérimenter sans l’enjeu
La beauté de ce stage réside dans cette possibilité unique : s’expérimenter sans enjeu relationnel ou émotionnel. Ici, l’autre n’est pas « mon partenaire », mais un miroir temporaire, un compagnon de pratique, un espace neutre où je peux tester mes élans et mes limites. C’est une liberté incalculable : celle d’essayer, de s’affirmer, de réajuster, sans risquer de perdre une histoire ou de trahir un lien ancien.

Et dans cet espace, quelque chose d’immense se déploie : une confiance nouvelle en soi, une affirmation calme, une joie d’être enfin entendu – d’abord par soi-même.
 

 Les massages proposés : Yin-Yang et Malishtahen Chantant
Le corps, bien sûr, est au cœur de cette exploration. Deux massages tantriques viennent offrir une intégration profonde :

- Le Yin-Yang, une danse subtile entre douceur et intensité, qui rééquilibre nos polarités et permet de sentir là où nous voulons nous abandonner et là où nous voulons choisir.
- Le Malishtahen Chantant, un massage vibrant, presque rituel, où le son et le souffle accompagnent les mouvements. Ici, le corps se détend, les mémoires s’apaisent, et l’âme s’ouvre à quelque chose de plus grand.

Ces pratiques corporelles sont comme deux portes royales vers ce positionnement intérieur : je sens, j’accueille, je reçois.

 Gâteau ou cerise ?
Alors, gâteau ou cerise ? Peut-être le gâteau, nourrissant, dense, qui donne la force d’affirmer qui je suis. Peut-être la cerise, légère et joyeuse, posée sur le sommet de l’expérience, comme un éclat de plaisir et de jeu. Finalement, ce stage n’oblige pas à choisir : il offre tout. La profondeur et la légèreté, la force et la tendresse, le oui et le non, le donner et le recevoir.

Ce stage Tantra n’est pas qu’un atelier de plus. C’est un déclencheur. Une bascule. Un espace où l’on cesse d’attendre que le monde ou l’autre nous donne ce que nous n’osons pas nommer. Ici, c’est moi qui apprends à dire. Moi qui découvre comment me sécuriser, comment oser, comment me positionner.

Alors, peut-être que le vrai cadeau, au bout du chemin, c’est cette révélation douce mais ferme :
le seul qui sache vraiment ce que je veux, c’est moi.
Et lorsque je l’assume, enfin, ma présence au monde devient entière.